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24
juin
2025
Les ateliers co-écologiques
Évènement passé
#58e Atelier Co-Ecologique : « Refonder les politiques de l’eau »
Les intervenants
Pierre Victoria
Président du groupe de travail
Shiraz-Moret Bailly
Co-autrice de la Note
Thierry Burlot
Président du comité de bassin Loire Bretagne
Pierre-Alain Roche
Inspecteur général du développement durable et ancien directeur général de l'agence de l'eau Seine Normandie
La Fabrique Écologique organise un atelier co-écologique autour de sa nouvelle note intitulée « Refonder les politiques de l’eau : Pour une approche écologique de la gouvernance de l’eau », qui sera publiée ce mois de juin. Cet événement permettra d’échanger et de débattre sur les diagnostics et les propositions des auteurs. Le débat débat animé par Lucile Schmid, vice-présidente de la Fabrique Ecologique
Cet évènement est gratuit et ouvert à tous.
L’atelier co-écologique aura eu lieu à l’Académie du climat, au 2 place Baudoyer, de 18h30 à 20h
17
mars
2025
Les ateliers co-écologiques
Évènement passé
#57e Atelier Co-Ecologique : « Electricité : les données au service de la transition »
Les intervenants
Alain Charraud
Inspecteur général honoraire de l’INSEE, responsable thématique régions à La Fabrique Ecologique, co-auteur de la note
François Demarcq
Ingénieur général des mines honoraire, responsable thématique énergie à La Fabrique Ecologique, co-auteur de la note
Ivan Faucheux
Commissaire à la Commission de régulation de l'énergie (CRE)
François Carlier
Directeur à l'Association nationale de défense des consommateurs et usagers (CLCV)
Le 17 mars 2025, La Fabrique Écologique a organisé un atelier co-écologique à l’Académie du Climat à Paris, autour de sa nouvelle note intitulée « Électricité : les données au service de la transition ». Cet événement a permis d’échanger et de débattre sur les diagnostics et les propositions réalisées par les auteurs de la note.
Les intervenants incluaient Ivan Faucheux, commissaire à la CRE (Commission de régulation de l’énergie), François Carlier, délégué général de la CLCV (Association nationale de consommateurs et usagers – Consommation Logement Cadre de Vie), Géraud Guibert, président de La Fabrique Ecologique et Mathilde Boitias, Directrice de La Fabrique Ecologique.
Diagnostic :
La note part du constat que la consommation d’électricité devrait doubler d’ici 2050, mettant en avant la nécessité de s’intéresser aux données relatives à la consommation, autant pour les consommateurs citoyens que pour les entreprises, les collectivités territoriales.
Ces données peuvent être mises à disposition de la part des producteurs et/ou gestionnaires de réseaux, soit par voie directe ou via des plates-formes dédiées en open data dans les limites du respect de la vie privée. La connaissance de ces données représente donc un intérêt général pour maîtriser au mieux sa consommation, et permettre donc de participer à la transition écologique par la sobriété des acteurs économiques.
Les nécessaires leviers de sobriété sont d’autant plus essentiels que la production d’énergies renouvelables. Étant « non pilotables », avec des capacités de stockages limitées et consommatrices en matériaux (métaux), les EnR ne peuvent constituer la seule solution.
Assurer la flexibilité du système électrique et celle des usages pour les ménages est central, et la proposition de tarifs « dynamiques » peut être un moyen simple. La flexibilité permettra de limiter le recours au stockage. De plus, en limitant les coûts du système électrique, elle présente un intérêt général.
Détails des propositions mises en avant :
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Investir le suivi et l’accessibilité des outils et plateformes de données électriques.
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Encourager le recours des tarifs dynamiques pour les clients volontaires.
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Mettre à contribution les agences et organismes publiques liés à la transition écologique via des outils de communication pour massifier la diffusion de connaissances sur les données.
Echanges avec la salle et retours d’expérience :
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Demande des acteurs (entreprises, collectivités) d’être accompagnés dans le suivi et l’accès aux données pour infléchir des solutions concrètes.
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Débats sur la flexibilité, faut-il l’assurer ou non ? La flexibilité rencontre plusieurs obstacles d’ordre technique, économique mais aussi culturel pour les ménages ?
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Quid de la précarité énergétique qui n’apparaît pas dans la note ? La flexibilité porte-t-elle le risque d’aggraver la précarité énergétique ?
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Place de l’IA dans l’orientation des choix des consommateurs ? Quid de leur consentement éclairé ?

12
février
2025
Les ateliers co-écologiques
Évènement passé
#56e Atelier Co-Ecologique : « Écologie et vie quotidienne : le chemin d’une transition réussie. Comment sortir du refus écologique »
Les intervenants
Géraud Guibert
Président de La Fabrique Ecologique et co-auteur de la note
Yann Fradin
Vice-président d’Emmaüs France, expert en économie sociale et solidaire
Mathilde Boitias
Directrice de La Fabrique Écologique
Dominique Voynet (excusée)
Députée du Doubs, ancienne ministre de la Transition écologique
Le 12 février 2025, La Fabrique Écologique a organisé un atelier co-écologique à l’Académie du Climat à Paris, autour de sa note intitulée «Écologie et vie quotidienne : le chemin d’une transition réussie. Comment sortir du refus écologique ?». Cet événement a permis d’échanger et de débattre sur les diagnostics et les propositions réalisées par le groupe de travail. Les intervenants incluaient Géraud Guibert, président de La Fabrique Écologique et co-auteur de la note, Yann Fradin, vice-président d’Emmaüs France et Mathilde Boitias, directrice de La Fabrique Écologique.
Diagnostic : du refus écologique aux prisonniers de la transition
Géraud Guibert a ouvert l’atelier en soulignant un constat préoccupant : nous sommes entrés dans une période de recul écologique, marquée par un rejet croissant des politiques environnementales. Ce refus ne relève pas d’un manque d’information, mais d’un ressenti négatif des solutions publiques proposées, imposées, qui frappent de plein fouet certaines catégories sociales déjà confrontées à des contraintes économiques et structurelles fortes.
Il a notamment insisté sur la notion de « prisonniers écologiques », qui désigne les individus contraints dans leurs choix par leur situation économique et sociale. Deux exemples peuvent illustrer cette réalité :
-Les familles périurbaines, vivant à plusieurs dizaines de kilomètres des centres urbains, dépendantes à la voiture.
-Les locataires de passoires énergétiques, qui subissent des conditions de vie précaires (froid, humidité) sans moyens financiers pour engager des rénovations.
Ce diagnostic se confirme par les derniers résultats électoraux, en attestent la popularité des mouvements populistes hostiles, voire foncièrement opposés aux politiques écologiques. Face à ce constat, il est impératif de changer de méthode. Les politiques publiques en matière environnementale doivent davantage s’axer sur une amélioration concrète des conditions de vie de chacune et de chacun.
Interrogé par Mathilde Boitias sur ces premiers éléments, Yann Fradin dresse un diagnostic similaire à celui de la Note. Il souligne l’importance d’une transition écologique devant d’abord passer par une amélioration des conditions de vie, en utilisant l’exemple de l’insertion par l’activité économique, secteur pour lequel il œuvre au sein d’Emmaüs. Dans les faits, une large majorité des emplois créés dans l’économie sociale et solidaire sont liés à la transition écologique. Cependant, les personnes concernées, qui correspondent aux critères de prisonniers écologiques, s’y engagent d’abord pour des raisons économiques et non par conviction écologique. Ainsi, il a souligné l’importance de l’apprentissage concret, où les travailleurs deviennent pleinement des acteurs, voire des militants de la transition écologique.
Enfin, Mathilde Boitias a rappelé un enjeu fondamental de la Note, celui du changement des valeurs dominantes. Le modèle du bonheur basé sur la consommation et sur la possession matérielle (maison pavillonnaire, SUV, voyages en avion…) est directement hérité des Trente Glorieuses. Ce paradigme capitaliste demeure un obstacle à la transition écologique. Un changement de mentalité est nécessaire, notamment en matière de consommation énergétique : accepter qu’une décroissance soit inévitable et que l’amélioration du bien-être n’est pas mécaniquement indexée à la consommation matérielle.
Trois propositions pour une transition écologique réussie
Face à ce diagnostic, trois propositions concrètes ont été proposées et soumises au débat.
1. Alignement des prix des produits « propres » sur ceux des produits « sales »
La transition écologique ne peut fonctionner si les solutions durables restent hors de portée financière des plus modestes. Il est donc nécessaire de réduire l’écart de prix entre les produits écologiques et les alternatives polluantes, que ce soit pour l’alimentation (bio vs conventionnel) ou la mobilité (train vs avion low-cost).
2. Un « plan cancer » intégrant un volet environnemental, financé par la Sécurité sociale
De nombreuses études établissent des liens entre l’exposition aux polluants (pesticides, particules fines, perturbateurs endocriniens…) et l’augmentation des cancers. Pourtant, les politiques de santé publique restent centrées sur le soin et non sur la prévention.
De manière plus générale, la Note souligne l’importance d’intégrer une dimension environnementale à l’approche de la santé publique, à l’image notamment du concept One Health, rappelle Yann Fradin.
3. Un programme de lutte contre le gaspillage collectif
Par cette proposition, le groupe de travail entend dépasser une approche du gaspillage focalisée sur la responsabilité individuelle pour, au contraire, en faire un véritable enjeu collectif.
Sur ce point, Yann Fradin souligne les dérives capitalistes perverses à éviter, en prenant l’exemple du bioéthanol. Initialement présenté comme une solution durable, il a finalement conduit à menacer la sécurité alimentaire mondiale, sans présenter de bénéfice particulier pour le climat. Il met au contraire certaines solutions durables en avant, comme le recyclage et le recours à la low-tech.
06
novembre
2024
Les ateliers co-écologiques
Évènement passé
#55e Atelier Co-Écologique : « Réussir le Zéro Artificialisation nette (ZAN) : la réduction des logements vacants et la fiscalité sur le non bâti »
Les intervenants
Géraud Guibert
Président de La Fabrique Ecologique et co-auteur de la Note
Guillaume Sainteny
Membre de l'Académie d'Agriculture de France et co-auteur de la Note
Thomas Uthayakumar
Directeur programme et plaidoyer de la Fondation pour la Nature et l'Homme, en tant que grand témoin, co-auteur du rapport « Zéro Artificialisation Nette : quels financements ? », en tant que grand témoin
Le 6 novembre 2024, La Fabrique Écologique a organisé un atelier co-écologique à l’Académie du Climat à Paris, autour de sa note intitulée « Deux priorités pour réussir le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) : la réduction des logements vacants et la fiscalité sur le non bâti ». Cet événement a permis d’échanger sur les diagnostics et les propositions, tout en abordant les défis liés à la mise en œuvre de cet objectif ambitieux. Les discussions ont porté sur les moyens de limiter l’artificialisation des sols tout en répondant aux besoins de logement et de développement économique. Les intervenants incluaient Géraud Guibert, président de La Fabrique Écologique et co-auteur de la note, Guillaume Sainteny, membre de l’Académie d’Agriculture de France et également co-auteur, ainsi que Thomas Uthayakumar, directeur programme et plaidoyer de la Fondation pour la Nature et l’Homme, grand témoin de l’événement et co-auteur du rapport « Zéro Artificialisation Nette : quels financements ? ». Le débat a été animé par Mathilde Boitias, directrice de La Fabrique Écologique.
L’artificialisation des sols en France : un problème croissant
Géraud Guibert a exposé l’évolution alarmante de l’artificialisation des sols, notant que tous les dix ans, la France artificialisait l’équivalent d’un département, une progression bien plus rapide que la croissance démographique. Cela a des répercussions graves sur la biodiversité, notamment la diminution du nombre d’espèces due à la suppression des habitats et à l’impossibilité pour les espèces de circuler pour se nourrir et se reproduire. Les trames vertes et bleues, destinées à préserver cette circulation, peinent à compenser cette perte.
Impact environnemental et climatique
L’artificialisation des sols contribue aussi aux risques d’inondation. En France, 28 millions de personnes vivent en zone inondable. L’imperméabilisation des sols aggrave l’ampleur et la fréquence des crues en augmentant le volume d’eau non absorbé par le sol. Guillaume Sainteny a souligné que les sols artificialisés accumulent davantage de chaleur, entraînant des îlots de chaleur urbains, tandis que les zones naturelles permettent de maintenir des températures plus fraîches.
Propositions pour réduire l’artificialisation des sols
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Réduction de la vacance des logements : En France, environ 3 millions de logements sont vacants, ce qui représente un gaspillage écologique majeur. Géraud Guibert a mis en avant l’importance de réformer la fiscalité pour encourager la remise sur le marché de ces logements. Cela inclurait la mise en place de taxes pénalisant les logements vacants, notamment ceux possédés par des multipropriétaires.
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Utilisation optimale des logements sous-occupés : Le vieillissement de la population conduit à des logements sous-occupés, souvent par des seniors. Une meilleure gestion de ces espaces pourrait libérer des logements pour des familles ou des solutions de colocation.
Les défis fiscaux liés aux terres non bâties
Thomas Uthayakumar a évoqué le problème de la fiscalité sur les terres non bâties, qui est souvent plus élevée que sur les terres artificialisées. Guillaume Sainteny a proposé de réduire la taxation des terres naturelles et agricoles pour encourager leur préservation. Cela permettrait de rendre l’investissement dans les terres naturelles plus attractif et d’éviter que ces espaces soient convertis en zones urbanisées pour maximiser les profits.
Réhabilitation des friches industrielles
Une autre piste évoquée a été la réhabilitation des friches industrielles, qui représentent environ 100 000 hectares. Cela permettrait de répondre aux besoins de construction sans sacrifier davantage de terres naturelles. Guillaume Sainteny a aussi mentionné l’importance de revoir les droits de mutation et de simplifier les processus pour encourager la rénovation de bâtiments existants.
Transparence et politique locale
Géraud Guibert a plaidé pour une meilleure transparence sur la vacance des logements. Les élus locaux doivent disposer de données claires pour comprendre l’ampleur du problème et prendre des mesures adéquates. Cependant, il a souligné le manque de lobbying et d’intérêt politique autour de la question, ce qui freine les avancées dans ce domaine.
Mesures fiscales et financement
La fiscalité joue un rôle central dans la gestion de l’artificialisation et de la vacance des logements. Guillaume Sainteny a expliqué que la rentabilité locative a baissé ces dernières années en raison de l’augmentation des taxes foncières, ce qui dissuade de nombreux propriétaires de rénover ou de louer leurs biens. Une taxation progressive, basée sur le nombre de logements vacants possédés, a été proposée pour distinguer les propriétaires de bonne foi de ceux qui accumulent des biens non occupés.
Industrie et ZAN
Thomas Uthayakumar a abordé la contradiction entre l’objectif ZAN et la réindustrialisation de la France. Bien que la relance industrielle soit importante, elle doit être compatible avec les engagements écologiques. Les solutions incluent le développement de petits véhicules pour les zones périurbaines et l’encouragement de la réhabilitation des anciennes infrastructures plutôt que de la construction neuve.
L’atelier a suscité des débats enrichissants grâce aux interventions des membres du public, permettant ainsi de mettre en lumière plusieurs points importants :
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Mixité sociale dans les logements sociaux : Favoriser la mixité plutôt que d’imposer des quotas stricts.
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Valorisation des zones naturelles : Proposer une dotation par hectare pour encourager la préservation des espaces non bâtis.
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Indicateur d’emploi : Créer un indicateur mesurant l’impact des projets d’industrialisation sur les terres non bâties.
07
décembre
2023
Les ateliers co-écologiques
Évènement passé
#54e Atelier Co-Écologique : « Les bioénergies : quelle place dans la transition énergétique ? »
Les intervenants
Christian Couturier
Directeur de Solagro
François Demarcq
Responsable thématique énergie de La Fabrique Ecologique
Mathilde Boitias
Directrice de La Fabrique Ecologique
Laurent Simon
Responsable thématique biodiversité à La Fabrique Ecologique et professeur d'université
Philippe Mauguin
PDG de l'INRAE
Pierre-Marie Aubert
Directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires à l'IDDRI
A l’occasion de la publication de sa note « Les bioénergie : quelle place dans la transition énergétique ? », La Fabrique Ecologique a organisé son 54è Atelier Co-Ecologique le 7 décembre 2023 à la Mairie du 9è arrondissement parisien. L’échange a débuté par la présentation des conclusions de la note par les porte-paroles du groupe de travail qui sont François Demarcq, Responsable thématique énergie de La Fabrique Ecologique et Christian Couturier, directeur de Solagro. Cet Atelier Co-Ecologique avait comme Grands Témoins Philippe Mauguin, PDG de l’INRAE et Pierre-Marie Aubert, directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires à l’IDDRI.
L’atelier co-écologique sur les bioénergies a mis en avant le rôle crucial de la biomasse dans la transition énergétique, soulignant le besoin d’augmenter son utilisation pour tirer vers la neutralité carbone. Les discussions ont mis en lumière les défis liés à la gestion forestière, à la méthanisation agricole et à l’aviation, tout en pointant les obstacles politiques et économiques à surmonter pour intégrer efficacement la biomasse dans le mix énergétique.
Les intervenants ont insisté sur la nécessité d’une politique alimentaire favorisant une alimentation plus végétale pour libérer des terres arables pour la biomasse, tout en mettant en garde contre les changements complexes nécessaires pour les agriculteurs et éleveurs. La gouvernance a été au centre des débats, avec des appels à une cohérence entre niveaux national et régional pour éviter les incohérences et à une régulation plus poussée pour orienter la demande croissante vers une utilisation énergétique optimale de la biomasse.
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Les ateliers co-écologiques
Le concept
Un atelier co-écologique est organisé à l’occasion de chaque publication de La Fabrique Écologique (environ six notes par an). Ce moment de co-construction citoyenne, ouvert à tous et au format innovant, fait interagir l’ensemble des participants sur le contenu de la note. Les ateliers qui ont déjà eu lieu ont su créer un réel engouement. La Fabrique Écologique est un lieu de référence pour élaborer des politiques publiques et des propositions concrètes en matière d’écologie et de développement durable. Elle réfléchit, propose et lance des débats sur une base transpartisane avec une exigence de très grande rigueur. Plusieurs groupes de travail se réunissent autour de thématiques variées pour rédiger des notes à destination des décideurs et du grand public.
Le fonctionnement des ateliers
Les ateliers, rythmés par un animateur, comportent une présentation par le Président du groupe de travail, de courtes réactions de deux ou trois grands témoins, et surtout des interventions des participants présents dans la salle. Le diagnostic et les propositions de la note sont ainsi débattus par tous ceux qui le souhaitent. Afin de les rendre interactifs, un live tweet accompagne les échanges et ces derniers peuvent être retransmis en direct sur internet.
Le jour de l’événement, la note est également mise en ligne sur le site internet de l’association et ouverte aux commentaires. Cette phase de co-construction avec les citoyens dure environ deux mois à l’issue desquels les membres du groupe de travail intègrent les amendements jugés pertinents. La version définitive de la note est ensuite publiée.
Le Hashtag de la soirée : #AtelierCoEcolo
Les partenaires des ateliers

