Climat

Europe

International

Rendre utile la COP 21. De l’international au national : l’impact des négociations climatiques sur l’action publique

 

 

Publié le 10 janvier 2016

Accueil > Publications > Rendre utile la COP 21. De l’international au national : l’impact des négociations climatiques sur l’action publique

Note définitive - N°14

Cette note est issue des travaux d’un groupe de réflexion réuni dans le cadre de La Fabrique Écologique entre février et septembre 2015.
TÉLÉCHARGER LA NOTE Download an english version

Signataires

• Aurore Bimont, ancienne présidente de CliMates, cheffe de projet COP21 au Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, co-présidente du groupe de travail
• Géraud Guibert, président de La Fabrique Ecologique, co-président du groupe de travail
• Tomas Désaunay, docteur en sciences des matériaux, rapporteur du groupe de travail
• Pierre Ducret, CDC, président de l’Institute for Climates Economics
• Sabine Giguet, ingénieur et économiste dans le secteur de l’énergie
• Martin Guespereau, chargé de mission auprès du Secrétaire Général au Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie
• Serge Lepeltier, Président de l’Académie de l’Eau, ancien Ministre de l’Environnement, ancien Ambassadeur chargé des négociations sur le changement climatique
• Benoit Martimort-Asso, Responsable Pôle Prospective et Stratégie, Institut de Recherche pour le Développement et Membre du Comité Consultatif de CliMates
• Régis Nicolas, volontaire à l’Association Scientifique et Technique pour l’Eau et l’Environnement, anciennement chargé de mission pour l’Union Européenne en Chine
• Zach Ter-Minassian, diplômé de Sciences Po Paris, a travaillé pour un cabinet de conseil environnemental Eco Act, le REDD+ en Indonésie et le Centre pour la recherche internationale en foresterie (CIFOR).
Conformément aux règles de La Fabrique Écologique, seuls les signataires de la note sont engagés par son contenu.
Leurs déclarations d’intérêts sont disponibles sur demande écrite adressée à l’association.

 

Autres membres du groupe de travail

• Sarah Bendahou (Emirats arabes unis), diplômée d’un double-master en Sciences et Politiques de l’Environnement, anciennement scolarisée au lycée au Lycée Louis Massignon d’Abu Dhabi. Elle a travaillé sur des projets d’assistance technique au Programme des Nations Unies pour l’Environnement dans le domaine de l’efficacité énergétique.
• Bindu Bhandari (Népal), membre de plusieurs associations visant à sensibiliser et mobiliser les jeunes autour des enjeux climatiques.
• Alexandra Gavilano (Pérou), doctorante à l’Université de Bern sur l’analyse de politiques publiques pour l’adaptation au changement climatique.
• Imelda (Australie), étudiante en master sur les politiques publiques et la gouvernance climatique à l’Université de Tasmanie.
• Monica Lafon (Mexique), analyste politique dans la Délégation Mexicaine à l’OCDE.
• Marilú López-Mejía (Mexique), Laboratoire de biologie évolutive et de génétique des populations, Université de Quintana Roo.
• Clément Métivier (Etats-Unis), coordinateur de COPinMyCity France et Amérique du Nord dans CliMates, anciennement étudiant à l’Université de Californie et chargé de mission pour la COP21 à Los Angeles.
• Luan Santos (Brésil), chercheur au Centre pour des Etudes intégrées sur le Changement climatique et l’Environnement à Rio de Janeiro.
• Thauan Santos (Brésil), professeur d’économie et de relations internationales à l’Université Fédérale et l’Université Catholique Pontificale de Rio de Janeiro.
• Rifka Sibarani (Indonésie), doctorant en économie de l’environnement à l’Université de Hawaï à Manoa.
• Soraya Soemadiredja (Indonésie), en master en Sciences de l’Environnement, de la Politique et du Management, a travaillé au Conseil National pour le Changement Climatique en Indonésie.
• Martina Sopkova (Union Européenne), membre de l’Unité Stratégie énergétique à la Commission Européenne, ex-consultante sur les directives européennes en matière d’environnement.
• Polina Voylokov (Russie), chercheure à l’INRA à Paris Grignon.
• Satrio A. Wicaksono (Indonésie), doctorant sur les impacts écologiques des précipitations en Indonésie à l’Université Brown aux Etats-Unis.

 

Personnes rencontrées dans le cadre de ces travaux

• Alix MAZOUNIE, chargée des Politiques Internationales, Réseau Action Climat France
• Pierre RADANNE, président de l’association 4D
• Céline RAMSTEIN, chef de projet COP21 à l’IDDRI
• Arthur VETU, conseiller au Cabinet du Président du Conseil Général du Nord

 

Relecture

Cette note a été discutée par le comité de lecture de La Fabrique Écologique, composé de Guillaume Duval, Marianne Greenwood, Marc-Olivier Padis, Guillaume Sainteny et Lucile Schmid. Géraud Guibert, membre du comité de lecture, n’a pas participé à cette réunion mais a été auditionné ensuite, compte tenu de sa responsabilité de co-président du groupe de travail.
Elle a été validée par le Conseil d’administration de La Fabrique Écologique du 22 septembre 2015 et le Bureau de CliMates.
Conformément aux règles de La Fabrique Écologique, la note a été ouverte jusqu’à la fin du mois de février 2016 sur le site de l’association (www.lafabriqueecologique.fr).
La Fabrique Écologique tient à remercier l’ensemble des contributeurs pour leurs remarques et commentaires avisés qui ont permis d’améliorer cette publication.
Cette note est également publiée sur le site de CliMates (www.climates.fr).

Agriculture

Biodiversité

Climat

Eau

Europe

Politique Société

Le Conseil constitutionnel face aux reculs récents de la protection de l’environnement

LIRE

Décryptage - N°55 - Publié le 14 octobre 2025

Synthèse

Depuis quelques temps, les signaux de recul en matière de politiques écologiques se multiplient. Ces régressions se font à contre-courant de l'opinion publique, du consensus scientifique et parfois même de l'état de droit. En 2025, la loi d'orientation agricole et la loi Duplomb les illustrent parfaitement. Dans ce décryptage, Frédéric Tiberghien, Conseiller d'état honoraire, revient sur les décisions du Conseil constitutionnel à propos de ces deux lois, et les implications politiques quant à la protection de l'environnement.

Agriculture

Climat

Économie, Finances

Mobilité

Numérique

Politique Société

Etude n°7 : « Low-tech, low-great ? Repenser le travail et l’économie »

LIRE

Article publié - N°7 - Publié le 18 septembre 2025

Synthèse

Alors que les acteurs traditionnels de la question de l'emploi (syndicats, entreprises, travailleurs, organismes de formation) considèrent de plus en plus les impératifs écologiques, ils manifestent peu d'intérêt pour la démarche low-tech. Celle-ci continue d'être perçue comme une démarche individuelle « do-it-yourself ». Pourtant, dans un contexte de chômage, de délocalisation, de robotisation, et de reconversion des secteurs polluants, les low-tech peuvent être porteurs d'amélioration de la qualité de vie au travail. Ce potentiel reste largement ignoré par le monde professionnel. Cette étude cherche à identifier les raisons de cette marginalisation des low-tech et les leviers de démocratisation. Elle vise également à proposer des pistes de réflexion pour une transformation écologique du travail qui soit à la fois socialement juste et économiquement viable.