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Vers des technologies sobres et résilientes – Pourquoi et comment développer l’innovation « low-tech » ?

Publié le 14 avril 2019

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Note définitive - N°31

Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
TÉLÉCHARGER LA NOTE
La nouvelle publication de La Fabrique Ecologique, Vers des technologies sobres et résilientes – Pourquoi et comment développer l’innovation « low »tech » ?, issue du groupe de travail présidé par Philippe Bihouix, est désormais disponible en ligne.
Cette note est issue des travaux d’un groupe de réflexion réuni dans le cadre de La Fabrique Ecologique entre octobre 2017 et août 2018. Le groupe de travail de La Fabrique Ecologique auteur de cette note est composé de :

Signataires

• Philippe Bihouix, Président du groupe de travail, ingénieur et essayiste, administrateur de l’Institut Momentum
• Emeline Baume de Brosses, Conseillère déléguée à l’Economie circulaire et la Prévention des déchets, Métropole de Lyon
• Geneviève Besse, Politiste
• Fabrice Bonnifet, Directeur Développement Durable & Qualité, Sécurité, Environnement du Groupe Bouygues, Président du Collège des Directeurs Développement Durable
• Marc Darras, Président du Groupement professionnel Centraliens « Ingénieur et Développement Durable », Vice-Président de l’Association 4D
• Thomas Désaunay, Administrateur de La Fabrique Ecologique
• Jean-Marc Gancille, Co-fondateur de Darwin
• Amandine Garnier, Chargée de développement, Low-tech Lab
• Thierry Groussin, Créateur de perspectives, ingénierie de formation
• Thomas Guillermou, Entrepreneur, délégué national « Planète » au Centre des Jeunes Dirigeants d’Entreprise
• Arthur Keller, Spécialiste des vulnérabilités des sociétés industrielles et des stratégies de résilience, administrateur de l’association Adrastia
• Catherine Lapierre, Economiste, ingénieure
• Dominique Py, Secrétaire de l’association Adrastia
• Sandrine Roudaut, Editrice, prospective, conférence, auteure « L’utopie mode d’emploi », « Les suspendu(e)s »
• Agnès Sinaï, Journaliste et enseignante à Sciences Po, fondatrice de l’Institut Momentum
• Mathilde Soyer, Sociologue, chercheure associée au LEESU, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
• Bruno Tassin, Directeur de recherche à l’école des ponts ParisTech, co-resonsable scientifique du Labex Futurs-Urbains
• Arnaud Vanhove, Etudiant HEC Paris au sein du master « Sustainability and Social Innovation »
• Dominique Viel, Présidente du groupe de travail Prévention des déchets du Ministère de l’Ecologie
Conformément aux règles de la Fabrique Ecologique, seuls les signataires de la note sont engagés par son contenu. Leurs déclarations d’intérêts sont disponibles sur demande écrite adressée à l’association.

Membres du groupe de travail

• Guillaume Duval, Journaliste
• Laurence Medioni, Directrice communication et RSE, Ubitransport.

Relecture

Cette note a été discutée par le comité de lecture de La Fabrique Ecologique, composé de Nicolas Blanc, Guillaume Duval, Marianne Greenwood, Géraud Guibert, Catherine Husson-Traoré, Joël Roman, Guillaume Sainteny et Lucile Schmid.
Elle sera relue et fera l’objet de suggestions de la part des personnalités suivantes :
• Michel Gioria, Directeur régional de l’Ademe Ile-de-France
• Olivier Rey, Philosophe
Elle a enfin été validée par le Conseil d’administration de La Fabrique Ecologique.
Conformément aux règles de La Fabrique Ecologique, cette publication sera mise en ligne sur le site de l’association (www.lafabriqueecologique.fr) afin de recueillir l’avis et les propositions des internautes.

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Recommandations découlant de l’étude : « Que peut-on attendre du covoiturage du quotidien pour la transition écologique »

LIRE LA NOTE

Notes ouvertes au débat collaboratif - N°49 - Publié le 13 septembre 2023

Synthèse

Entre 2022 et 2023, La Fabrique Ecologique et le Forum Vies Mobiles ont mené une étude sur le rôle du covoiturage du quotidien dans la transition écologique, en s’interrogeant sur la capacité des politiques à massifier la pratique et les ambitions que l’on peut réellement placer derrière ce mode de déplacement. En parallèle de l’étude, les deux think tanks ont souhaité réunir un groupe de travail pour prolonger le travail de diagnostic. L’enjeu de la présente Note est de revenir sur les principales réflexions du groupe de travail, en présentant les points d’alerte et les préconisations adossés à l’objectif de développer massivement le covoiturage pour les trajets du quotidien. Le travail s’est appuyé sur les expertises de chacun des membres du groupe de travail ainsi que sur l’étude.

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Étude n°5 : « Que peut-on attendre du covoiturage du quotidien pour la transition écologique »

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Article publié - N°5 - Publié le 12 septembre 2023

Synthèse

Alors que la voiture est dimensionnée pour accueillir 4 à 5 personnes, être seul à bord de son véhicule est une pratique très fréquente pour les trajets du quotidien, et presque élevée au rang de norme pour se rendre au travail. L’augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur des transports, premier secteur émetteur en France, serait due, pour 28 %, à la baisse du taux de remplissage des voitures depuis les années 1960. De nombreux leviers d’action publique ont été développés pour massifier le covoiturage du quotidien et un Plan covoiturage 2023 – 2027 a récemment fléché vers cet objectif des financements inédits. Cette étude, réalisée en partenariat avec le Forum Vies Mobiles, interroge la capacité des politiques publiques actuelles à massifier le covoiturage et la pertinence de cet objectif alors que la non-soutenabilité de nos pratiques de mobilité et de nos modes de vie est de plus en plus soulignée. La voiture, en devenant partagée, pourrait-elle devenir l’une des solutions aux problèmes qu’elle a participé à créer ?