Territoires

Réparer la ville pour une régénération des lotissements

Publié le 23 septembre 2019

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Note définitive - N°33

67.000 hectares par an : c’est la surface moyenne artificialisée chaque année en France. Ce mouvement s’accélère depuis le début des années 1990 et ses conséquences dramatiques sont de mieux en mieux documentées : perte des terres agricoles, diminution des ressources en eau  potable, contribution aux phénomènes d’inondation, appauvrissement de la biodiversité, allongement des distances domicile-travail générant une hausse des émissions de CO2, hausse des dépenses d’équipements et de services publics, etc.
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Cette note est issue des travaux d’un groupe de réflexion réuni dans le cadre de La Fabrique Ecologique entre janvier 2017 et octobre 2018.

 

Signataires                 

  • Christine Leconte Présidente de l’Ordre des architectes d’Île-de-France, Présidente du groupe de travail

  • Bertrand Nicolle Urbaniste, chargé des relations institutionnelles de l’Ordre des architectes d’Île-de-France, rapporteur du groupe de travail

  • Michel Audouy Secrétaire général de la Fédération Française du Paysage

  • Luc Gwiazdzinski Géographe

  • Julien Moulard Urbaniste

Conformément aux règles de la Fabrique Ecologique, seuls les signataires de la note sont engagés par son contenu. Leurs déclarations d’intérêts sont disponibles sur demande écrite adressée à l’association.

 

Autres membres du groupe de travail

  • Eric Aleyat-DupuisEx-directeur de SNL Prologues

  • Daniel Cueff – Maire de Langouët, mandaté par le réseau BRUDED

  • Pascale D’Anfray-LegendreArchitecte-urbaniste

  • Pascale PoirotPrésidente d’honneur de l’UNAM, ex-présidente

Personnes rencontrées dans le cadre de ces travaux

  • Jacques DrouhinMaire de Flagy, président des maires ruraux du 77

  • Frédéric BonnetArchitecte et urbaniste, Grand Prix de l’Urbanisme 2014

  • Raphaël BessonExpert en socio-économie urbaine et docteur en sciences du territoire, Directeur de l’agence Villes Innovations

  • Fabien GantoisArchitecte, enseignant à l’ENSA Paris La Villette et expert pour le programme expérimentation Europan du PUCA

Relecture

Cette note a été discutée par le comité de lecture de La Fabrique Ecologique, composé de Nicolas Blanc, Guillaume Duval, Marianne Greenwood, Géraud Guibert, Catherine Husson-Traoré, Joël Roman, Guillaume Sainteny et Lucile Schmid.

Elle sera relue et fera l’objet de suggestion de la part de la personnalité suivante :

  • Sonia de la Provôté – Sénatrice du Calvados

  • Louis Henry – Responsable territoires et développement durable à l’institut CDC

  • Olivier Razemon – Journaliste, auteur de « Comment la France a tué ses villes »

 

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Décryptage - N°55 - Publié le 14 octobre 2025

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Depuis quelques temps, les signaux de recul en matière de politiques écologiques se multiplient. Ces régressions se font à contre-courant de l'opinion publique, du consensus scientifique et parfois même de l'état de droit. En 2025, la loi d'orientation agricole et la loi Duplomb les illustrent parfaitement. Dans ce décryptage, Frédéric Tiberghien, Conseiller d'état honoraire, revient sur les décisions du Conseil constitutionnel à propos de ces deux lois, et les implications politiques quant à la protection de l'environnement.

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Alors que les acteurs traditionnels de la question de l'emploi (syndicats, entreprises, travailleurs, organismes de formation) considèrent de plus en plus les impératifs écologiques, ils manifestent peu d'intérêt pour la démarche low-tech. Celle-ci continue d'être perçue comme une démarche individuelle « do-it-yourself ». Pourtant, dans un contexte de chômage, de délocalisation, de robotisation, et de reconversion des secteurs polluants, les low-tech peuvent être porteurs d'amélioration de la qualité de vie au travail. Ce potentiel reste largement ignoré par le monde professionnel. Cette étude cherche à identifier les raisons de cette marginalisation des low-tech et les leviers de démocratisation. Elle vise également à proposer des pistes de réflexion pour une transformation écologique du travail qui soit à la fois socialement juste et économiquement viable.