Agriculture
Biodiversité
Territoires
Les Controverses Écologiques: Comment cohabiter avec les animaux
Publié le 17 février 2020
Accueil > Publications > Les Controverses Écologiques: Comment cohabiter avec les animaux
Notes ouvertes au débat collaboratif
Le 13 février en partenariat avec Sorbonne Développement Durable, se déroulait la 5ème édition des Controverses Ecologiques. Le débat : « Comment cohabiter avec les animaux » a été animé par Laurent Simon, professeur de géographie à l’Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne. Pour traiter de ce sujet, trois personnalités ont été conviées : Alizé Berthier, docteure en géographie de l’Université Paris 1 – Panthéon Sorbonne ; Gilles Luneau, écrivain, journaliste spécialiste de la PAC et réalisateur ; Anne-Cécile Suzanne, agricultrice et consultante.
Lors de l’introduction de l’événement, Laurent Simon a rappelé que le regain d’intérêt pour cette question était dû à plusieurs facteurs dont l’effondrement de la biodiversité ou encore la crise des modes de production. Selon lui, le recul de la place du sauvage conduit paradoxalement à une multiplication des espaces de rencontre entre humain et non-humain. Il a par la suite relayé les questions de la Controverse : qu’entend t-on par cohabitation ? Quel lien intime autour de ce qui fait société et politique ? L’animal est-il au cœur des débats et d’évolutions fondamentales ?
Retrouvez un compte-rendu détaillé de l’évènement ici:
Agriculture
Climat
Économie, Finances
Mobilité
Numérique
Politique Société
Etude n°7 : « Low-tech, low-great ? Repenser le travail et l’économie »
Article publié - N°7 - Publié le 18 septembre 2025
Synthèse
Alors que les acteurs traditionnels de la question de l'emploi (syndicats, entreprises, travailleurs, organismes de formation) considèrent de plus en plus les impératifs écologiques, ils manifestent peu d'intérêt pour la démarche low-tech. Celle-ci continue d'être perçue comme une démarche individuelle « do-it-yourself ». Pourtant, dans un contexte de chômage, de délocalisation, de robotisation, et de reconversion des secteurs polluants, les low-tech peuvent être porteurs d'amélioration de la qualité de vie au travail. Ce potentiel reste largement ignoré par le monde professionnel. Cette étude cherche à identifier les raisons de cette marginalisation des low-tech et les leviers de démocratisation. Elle vise également à proposer des pistes de réflexion pour une transformation écologique du travail qui soit à la fois socialement juste et économiquement viable.
Climat
Politique Société
Territoires
Alexandre Florentin : « Paris à 50 degrés : cuire, fuir ou agir »
Article publié - N°5 - Publié le 9 juillet 2025
Synthèse
0 commentaire