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Les bioénergies : quelle place dans la transition énergétique ?
Publié le 13 décembre 2023
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Notes ouvertes au débat collaboratif - N°51
La Note de La Fabrique Ecologique « Les bioénergies : quelle place dans la transition énergétique ? » issue du groupe de travail initié par François Demarcq est désormais disponible en ligne. Cette note a un double objectif : rappeler ce qu’est la biomasse, à quoi elle peut servir pour mettre en lumière les limites et les arbitrages nécessaires, et expliciter quelques messages simples pour une prise en compte raisonnée et partagée de la biomasse dans les politiques publiques. Alors que la révision de notre stratégie énergétique est un enjeu majeur pour atteindre la « neutralité carbone » en 2050, cette Note propose de redonner une juste place à la thématique de la biomasse, une source d’énergie majeure et « multiusages » insuffisamment prise en compte dans les débats publics.
Cette Note est actuellement ouverte à la co-construction citoyenne. Ceci signifie que chacun(e) peut contribuer à son amélioration en faisant des commentaires et surtout en proposant des amendements précis, soit ci-dessous ou par email à l’adresse contact@lafabriqueecologique.fr. À l’issue de cette période collaborative, le groupe de travail qui a rédigé le document initial se réunira une dernière fois pour retenir les amendements jugés pertinents. Leurs auteurs seront dans ce cas sollicités pour que leur nom figure, s’ils le souhaitent, dans la fiche de présentation de la note en tant que contributeur. La version définitive sera ensuite publiée.
Membres du groupe de travail :
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Christian Couturier – Directeur, SOLAGRO
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François Demarcq – Ingénieur général des mines honoraire, référant énergie à La Fabrique Ecologique
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Géraud Guibert – Président de La Fabrique Ecologique
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Laurent Simon – Professeur émérite, Université Paris I Panthéon-Sorbonne, référent biodiversité à La Fabrique Ecologique
Grands Témoins :
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Philippe Mauguin – Président-directeur général, INRAE, Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement
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Pierre-Marie Aubert – Directeur du programme Politiques agricoles et alimentaires, IDDRI, Institut du développement durable et des relations internationales
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Etude n°7 : « Low-tech, low-great ? Repenser le travail et l’économie »
Article publié - N°7 - Publié le 18 septembre 2025
Synthèse
Alors que les acteurs traditionnels de la question de l'emploi (syndicats, entreprises, travailleurs, organismes de formation) considèrent de plus en plus les impératifs écologiques, ils manifestent peu d'intérêt pour la démarche low-tech. Celle-ci continue d'être perçue comme une démarche individuelle « do-it-yourself ». Pourtant, dans un contexte de chômage, de délocalisation, de robotisation, et de reconversion des secteurs polluants, les low-tech peuvent être porteurs d'amélioration de la qualité de vie au travail. Ce potentiel reste largement ignoré par le monde professionnel. Cette étude cherche à identifier les raisons de cette marginalisation des low-tech et les leviers de démocratisation. Elle vise également à proposer des pistes de réflexion pour une transformation écologique du travail qui soit à la fois socialement juste et économiquement viable.
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Rapport d’activité 2024
Article publié - Publié le 3 juillet 2025
Synthèse
1 commentaire
Aarnaud TROLLE
Il y a 1 année(s)
Bonjour, Merci pour votre publication. La biomasse d'origine agricole (méthaniers) appairait ici comme une solution presque idéale (à part les fuites, dont l'ampleur et les conséquences ne sont pas précisées). DANIEL CHATEIGNER, scientifique et coordonnateur du Collectif Scientifique National pour une Méthanisation raisonnable (CSNM) (cf article paru dans Up Magazine du 19/12) apporte des éléments intéressants sur les effets agronomiques négatifs (dont appauvrissement des sols) et sur la faible efficacité énergétique. Il me semble intéressant de davantage mettre en valeur les limites de ces techniques, non pas pour les éliminer, mais les utiliser pour ce qu'elles peuvent réellement apporter à l'écosystème et aux citoyens (pas seulement pour l'énergie de substitution). L'approche "filière" permet difficilement une approche globale et systémique.