Mobilité

Territoires

Pour une mobilité sobre: la révolution des véhicules légers

Publié le 9 février 2023

Accueil > Publications > Pour une mobilité sobre: la révolution des véhicules légers

Note définitive - N°47

La Note de La Fabrique Ecologique et du Forum Vies Mobiles « Pour une mobilité sobre : la révolution des véhicules légers » issue du groupe de travail co-présidé par Jill Madelenat et Anne Fuzier est désormais disponible en ligne.
La voiture électrique ne pourra répondre seule à la nécessité de réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre liés aux transports, et plus largement aux impacts écologiques et sociaux de la voiture. Pourtant, c’est la solution portée en priorité par les pouvoirs publics. Cette note défend qu’une autre voie plus efficace est possible : développer une nouvelle gamme de véhicules beaucoup plus légers. A mi-chemin entre le vélo et la voiture : il s’agit des véhicules du type vélo à assistance électrique, tricycle, vélo mobile, triporteur, mini voiture…
TÉLÉCHARGER LE PDF
Cette Note est actuellement ouverte à la co-construction citoyenne. Ceci signifie que chacun(e) peut contribuer à son amélioration en faisant des commentaires et surtout en proposant des amendements précis, soit ci-dessous ou par email à l’adresse contact@lafabriqueecologique.fr. À l’issue de cette période collaborative, le groupe de travail qui a rédigé le document initial se réunira une dernière fois pour retenir les amendements jugés pertinents. Leurs auteurs seront dans ce cas sollicités pour que leur nom figure, s’ils le souhaitent, dans la fiche de présentation de la note en tant que contributeur. La version définitive sera ensuite publiée. 

 

Composition du groupe de travail

 

Membres du groupe de travail
  • Aurélien Bigo chercheur indépendant sur la transition écologique des mobilités
  • Frank Daout secrétaire fédéral de la Métallurgie CFDT
  • Anne Fuzier – co-présidente, chargée de projets au Forum Vies Mobiles
  • Matilin Guillouët – ancien stagiaire de La Fabrique Ecologique, rapporteur
  • Frédéric Héran – enseignant-chercheur en économie à l’Université de Lille, spécialiste des mobilités
  • Samuel Klebaner – enseignant-chercheur en économie à l’Université Sorbonne Paris Nord, spécialiste de l’industrie automobile
  • Olivier Lefebvre enseignant en philosophie des techniques, docteur en robotique, ancien ingénieur spécialisé dans les navettes autonomes
  • Jill Madelenat co-présidente, chargée d’études à La Fabrique Ecologique
  • Quentin Mateus – chargé de projets au Low-tech Lab
  • Jean-Marie Robert – secrétaire national de la Métallurgie CFDT
  • Nora Youcefi – cofondatrice d’Azimio Field Consulting, autrice d’un rapport sur l’imaginaire des low-tech
Grands témoins
  • Emmanuel Hache économiste à l’IFPEN, directeur de recherche à l’IRIS, spécialiste des matériaux de la transition écologique et de la géopolitique des ressources naturelles
  • Hélène Jacquemin membre d’IN’VD, association œuvrant pour des mobilités alternatives en milieu rural de moyenne montagne

Agriculture

Biodiversité

Climat

Eau

Europe

Politique Société

Le Conseil constitutionnel face aux reculs récents de la protection de l’environnement

LIRE

Décryptage - N°55 - Publié le 14 octobre 2025

Synthèse

Depuis quelques temps, les signaux de recul en matière de politiques écologiques se multiplient. Ces régressions se font à contre-courant de l'opinion publique, du consensus scientifique et parfois même de l'état de droit. En 2025, la loi d'orientation agricole et la loi Duplomb les illustrent parfaitement. Dans ce décryptage, Frédéric Tiberghien, Conseiller d'état honoraire, revient sur les décisions du Conseil constitutionnel à propos de ces deux lois, et les implications politiques quant à la protection de l'environnement.

Agriculture

Climat

Économie, Finances

Mobilité

Numérique

Politique Société

Etude n°7 : « Low-tech, low-great ? Repenser le travail et l’économie »

LIRE

Article publié - N°7 - Publié le 18 septembre 2025

Synthèse

Alors que les acteurs traditionnels de la question de l'emploi (syndicats, entreprises, travailleurs, organismes de formation) considèrent de plus en plus les impératifs écologiques, ils manifestent peu d'intérêt pour la démarche low-tech. Celle-ci continue d'être perçue comme une démarche individuelle « do-it-yourself ». Pourtant, dans un contexte de chômage, de délocalisation, de robotisation, et de reconversion des secteurs polluants, les low-tech peuvent être porteurs d'amélioration de la qualité de vie au travail. Ce potentiel reste largement ignoré par le monde professionnel. Cette étude cherche à identifier les raisons de cette marginalisation des low-tech et les leviers de démocratisation. Elle vise également à proposer des pistes de réflexion pour une transformation écologique du travail qui soit à la fois socialement juste et économiquement viable.